Posté le: 2002-08-26 14:44 A tous ceux qui passent leur vie, à préparer leur mort...
Y'a ces yeux, rivés sur toi,
Oui ma belle, toi mon ombre,
Sur laquelle, je désire,
Compter ces, putains de lois.
J'incrémente, de mon souffle,
Cette peine qui, nous tend la main,
Et je tombe, puis l'étouffe,
Cette bombe qui, baisa les miens.
De ces décombres sous nos cieux,
Ces âmes sombres en ces lieux,
Nous dénombrant, ces instants,
Pour nous conter ces évênements,
Qui nous effraient, qui nous unissent,
Nous dépourvus, de ces suplices.
Et maintenant, pauvres errants,
Nous le creusons, cet ennui,
Nous la payons, cette vie,
Jusque sa chair, et son sang.
Pour qu'enfin cette lute,
Du bonheur à bâtir,
Nous dérive vers l'injuste,
Ce malheur, dépérir...
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Préfère l'esprit à la force, car l'esprit de la force ne vaut pas la force d'un esprit.
Ainsi la simplicité du bien dépasse de loin la facilité du mal.